photo Concours d'orthographe

Concours d'orthographe "N'ayons pas peur des mots"

Manifestation culturelle, Lecture - Conte - Poésie, Manifestation culturelle

FLERS 61100

Le 16/10/2021

Flers Agglo organise, avec Bernard Bruchet, un concours d’orthographe « N’ayons pas peur des mots » au Centre Madeleine-Louaintier à Flers. L’organisation attribue un prix « Coup de cœur ». Bernard Bruchet est un Flérien passionné d’orthographe, et finaliste de la Dictée des Amériques à Québec. Il participe toujours avec succès à de nombreux concours nationaux et internationaux. Quatre catégories Les participants seront répartis en 4 catégories : 1. Cadets (- de 15 ans) 2. Juniors (15-18 ans) 3. Séniors amateurs 4. Séniors professionnels (exerçant ou ayant exercé la profession de directeur d’école, professeur des écoles, professeurs de français ou de langue étrangère, linguiste, écrivain, journaliste, traducteur, correcteur). L’épreuve L’épreuve, une dictée, se déroule au Centre Madeleine-Louaintier à Flers de 14h à 15h. La première partie de cette dictée est destinée aux cadets et juniors. Les seniors sont corrigés sur l’ensemble. L’épreuve se déroule en trois temps : 1/ Lecture du texte 2/ Dictée 3/ Relecture Les copies sont anonymes. La proclamation des résultats se fait sans classement. L’organisation fournit stylo, papier et brouillon. Résultats[...]

photo Exposition Charlie Malgat : Sugar Free

Exposition Charlie Malgat : Sugar Free

Exposition

ALENCON 61000

Du 10/09/2021 au 24/10/2021

Dans l’univers de Charlie Malgat, il y a des bouches qui aspirent, salivent et possèdent une capacité d’ouverture tellement grande qu’elles feraient pâlir la version porno-iconique du film Deep Throat (1972). A contrario d’une présupposée singularité anatomique qui a justifié toutes les contorsions de l’actrice Linda Lovelace, les bouches – ici dessinées par l’artiste dans des storyboards aux craies « grasses à la cire » ou matérialisées par des sculptures en latex – dévoilent toute une scène antique. Un théâtre tragi-comique de poche depuis lequel apparaissent des personnages à mi-chemin entre la culture visuelle pop américaine – les signes répliqués à l’infini de donuts ou encore le steak, la guimauve qui hantent les publicités de papier ou les enseignes lumineuses – et la porn food des comptes Instragram. Les effets sont glacés, luisants, scintillants, baveux ou encore diaphanes. Les matières qu’elles soient détaillées dans leur consistance et ou leurs mouvements – fluides, saccadés, unilatéraux etc. – rappellent bien souvent leur destination : celle d’être dévorée par des bouches anonymes, récalcitrantes à toute psychologisation et anarcho-autonomistes. Au premier abord[...]